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 Liarivy (début, je viens de commencer)

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Griffe de Marbre

Griffe de Marbre
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Liarivy  (début, je viens de commencer) _
MessageSujet: Liarivy (début, je viens de commencer)   Liarivy  (début, je viens de commencer) I_icon_minitimeJeu 18 Fév - 12:56:27

Auteur: ben... moi! (Karen Charpentier)
Titre: Liarivy (c'est pas définitif)
Qu'est-ce que je peux encore dire... je ne sais pas.

Commençons:




Prologue



Le soleil disparaissait peu à peu derrière l’horizon, l’horrible chaleur de l’Afrique quittait elle aussi les terres, abandonnant la steppe africaine aux ténèbres et à une douce fraîcheur. C’est à ce moment là que Alan Vequiou aperçut le petit village Mimba, situé à quelques kilomètres à peine de l’Okavango.

Lorsqu’il pénétra dans le village, des enfants presque nus accoururent jusqu’à lui pour lui souhaiter la bienvenue, heureux de découvrir un nouveau personnage à la peau si pâle, comparée à la leur, et aux coutumes différentes.

Un homme armé d’une lance, sûrement un guerrier de la tribu, accouru et accompagna le visiteur entre les cases, jusqu’à la plus grande bâtisse. Lorsque Alan Vequiou pénétra dans la case, le guerrier qui l’avait jusqu’au là accompagné resta à l’entrée et patienta.

La case était vaste, décorée de peau de bêtes, de peintures, de sculptures, de boucliers et de lances. Jamais Alan n’avait vu maison si bien décorée.

Une voix aigre le sorti soudain de sa contemplation.

« Bienvenue à toi, Alan Vequiou. Je sais ce qui t’emmène ici, et je sais que ce que tu t’apprêtes à faire est mal, je sais aussi que malgré tout, c’est pour le bien des tiens. Mais tout cela pourrait emmener ces espèces à disparaître. Et si ces espèces disparaissent, l’équilibre de la chaîne alimentaire sera brisé. »

Alan se tourna vers le fond de la case, surpris d’entendre quelqu’un d’ici parler la langue française, sa langue. Là, un vieil homme à la peau noire était assis sur un trône de bois, habillé d’une peau de léopard. Il tenait un sceptre en bois sculpté, orné d’un buste d’oiseau de proie. Sceptre qui montrait à tous qui était le chef de ce village. A ses côtés, un homme encore plus vieux, aux yeux bleus pâles, était assis en tailleur.

L’homme vêtu de peau de bête regarda dans sa direction et parut rire, révélant une rangée de dents jaunes où manquait une canine.

« Assied-toi, Alan, continua le vieil homme. Nous avons à parler. »

Le français suivi les recommandations du vieil homme et s’assit au centre de la case.



Alan avait parlé au chef du village Mimba durant toute l’après-midi. Désormais, il était assis devant le feu en compagnie du vieux chef et du chaman de la tribu. Tout autour du feu, femmes, enfants et guerriers se parlaient dans leur langue.

« Ta tâche est bien difficile. Débusquer un de ces félins ! Dans une pareille forêt ? Fais attention à toi. Si tu marches dans la brousse, tu peux passer à un mètre d'un léopard tapi dans l'herbe sans le voir. Se sachant invisible à tes yeux, il n'attaquera sûrement jamais…
Mais si par malheur vos regards se croisent, il se sentira menacé. Et là, tu es un homme mort. »


Les paroles de Kodjo Okor, le chef du village, parurent déstabiliser le français.

« Dis-moi, Alan, dit le chef de la tribu. Tous ceux qui viennent dans ce village entendent ce que notre chaman a à lui dire. Veux-tu que Annan Kwéku te révèle des choses que tu ne sais pas ? Une petite prophétie ? »

Alan aurait aimé refuser la proposition de Kodjo Okor, il ne croyait pas aux prophéties, cela n’était que pure sottise à ses yeux. Personne ne pouvait prévoir l’avenir. Mais il ne voulait pas le blesser alors que le vieux chef lui avait réservé un si chaleureux accueil.

« Bien sûr, » répondit-il.

Kodjo Okor se mit à parler dans sa langue. Alan ne comprenait pas un mot, et se sentait bien seul. Le chaman répondit par un mot bref, et se mit à scruter les flammes. Il jeta alors une étrange poudre, et les flammes devinrent bleues. Tout le monde se recula, même les guerriers avec leurs lances. Seul le chef et le chaman n’avaient pas cillé. Annan Kwétu était figé, ses pupilles se dilatèrent. Les flammes se reflétaient dans ses yeux tout aussi bleus. Il semblait paralysé, il avait même cessé de respirer. Comme si il était mort.

Soudain, il se mit à trembler, puis à parler très rapidement dans sa langue, dont le français ne comprenait pas un mot.

« Il viendra bientôt une femme, traduisit le chef de la tribu. Une femme… ou autre chose. Et son destin sera déterminant pour l’avenir de son peuple et du tien. »




Premier chapitre



Je me souviens de mes premiers jours sur cette terre. Je me rappelle du noir qui m’entourait en permanence, car je n’avais pas encore les yeux ouverts. Les sensations autour de moi étaient étranges : l’odeur de ma mère et de mes frères envahissait mes narines, et la chaleur de leur corps me réchauffait. Moi et mes frères ne connaissions que ça. Je les sentais se tortiller autour de moi. Les premiers jours, j’en avais compté six, grâce aux odeurs qui flottaient dans la tanière. Puis, au bout d’un temps que je n’aurais su définir, j’avais senti un corps froid à côté de moi. L’un de mes frères était tombé dans un sommeil infini, c’est ce que nous avait fait comprendre notre mère.

Je me rappelle m’être demandé à quoi nous ressemblions, ma famille et moi. Notre mère me paraissait grande, car je l’entendais ramper hors de la tanière pour sortir chasser. Lorsqu’elle n’était pas dans le gîte, moi et mes frères nous roulions en boule pour ne pas avoir froid. Je me souviens avoir été piétinée plus d’une fois. Puis, lorsque nous l’entendions revenir, nous nous mettions à miauler, impatients de boire le lait qu’elle nous offrait.

L’un des souvenirs qui restera à jamais gravé dans ma mémoire, c’est le jour où j’ai ouvert les yeux. Je découvrais enfin la tanière qui m’avait accueilli durant neuf jours, ma famille et moi. Mes frères n’étaient pas comme je ne les avais inventés dans ma tête. Ma mère non plus. Son pelage sombre était différent du notre, qui était gris ou noir. Sa silhouette fine et gracieuse avait éveillé en moi l’admiration qu’un petit voue envers les plus grands.

Puis, enfin, quinze longs jours plus tard, ma mère nous avait emmené en dehors de la tanière. Nous avions alors découvert avec étonnement la savane. Je n’avais jamais imaginé, durant les premiers jours de ma vie, des formes et des couleurs aussi complexes. De grandes pattes brunes aux extrémités vertes, au moins cent fois plus grandes que notre mère, étaient éparpillées sur le sol vert et brun. Je n’aurais jamais cru que quelque chose soit plus grand que ma mère. Mes frères et moi nous étions réellement découverts. Je me rendis compte que nous avions tous des yeux bleus laiteux. Je demandais alors pourquoi nous avions tous les mêmes yeux, sauf notre mère.

« Tous les petits ont les yeux bleus à la naissance, m’avait-elle expliqué. Bientôt, ils changeront de couleur.

-Moi aussi, j’ai les yeux bleus ? » Avais-je miaulé.

Ma mère avait remué la queue en signe d’affirmation.



Enfin, trois jours plus tard, au matin, elle nous donna un nom. La première née reçu le nom d’Impala. C’était le nom d’une gazelle petite et vive, comme ma sœur, et que nous chasserions plus tard, nous avait expliqué notre mère. Le second, un petit mâle noir, fût nommé Naturo, qui voulait dire Fils de la Nature dans la langue des oiseaux. Ma mère fit signe à l’une de mes sœurs d’approcher. Je la trouvais magnifique. Elle s’approcha de ma mère avec grâce. Ma mère l’attrapa par la peau du cou pour la déposer à quelques centimètres d’elle. La petite féline devint Amala, Fille de la Nuit dans l’ancien langage, car elle avait la beauté de la lune et la grâce des étoiles filantes, nous avait dit notre mère. Puis, mes deux derniers frères s’approchèrent. Une femelle et un mâle, aussi semblable l’un que l’autre. Ma mère les nomma Zaril et Reyna, Rapide et Reine, dans le langage des oiseaux. Ils remuèrent la queue et se relevèrent au même moment pour rejoindre mon frère et mes sœurs.

Enfin, ma mère me regarda. Pour la première fois, je plongeais mon regard dans ses yeux aussi verts que les bourgeons des arbres. Il m’avait semblait y lire la fierté qu’une mère voue à ses petits, et la férocité du combattant et la patience du chasseur. Je crus la voir sourire à travers son regard.

D’un mouvement de la queue, elle m’incita à venir. Elle ne m’attrapa pas par la peau du cou, comme ce qu’elle avait fait pour mes frères. Elle me laissa simplement venir jusqu’à ses pattes. Je lui arrivais à peu près au ventre.

« Et toi, comment tu t’appelles ? »Lui demandais-je.

Ma mère remua la queue, surprise, puis dressa les oreilles. « Je suis Bella, » ronronna-t-elle.

« Qu’est-ce que ça signifie ?

-Bella ne veut rien dire. Je n’ai pas été nommée dans la forêt, ce sont les hommes qui m’ont donné un nom.

-Que sont les hommes ? » Demanda alors Impala. J’étais contente qu’elle ait posé la question à ma place. J’avais peur que ma mère me juge trop curieuse. Elle nous avait dit que les petits trop curieux mourraient souvent, s’éloignant trop de leur mère. Ils se faisaient alors dévorer par les hyènes, tuer par les lions ou piétiner par des buffles.

Bella remua la queue, agacée.

« Vous le découvrirez plus tard, » gronda-t-elle.

Je me rendis alors compte que j’étais la seule à ne pas avoir reçu de nom.

« Quand à toi, petite, me souffla ma mère, ton nom sera Liarivy, en hommage à ton père, Liar. Liarivy signifie Lierre Sauvage dans l’ancienne langue. » Elle me lécha alors le sommet de la tête, pleine d’entrain. « Désormais, vous faites parti de la forêt, en tant que futures panthères, » déclara-t-elle à nous tous. « Puissiez-vous devenir la génération de demain. » Puis elle poussa un grand rugissement qui dût retentir jusqu’à l’autre bout de la plaine, montrant à tous que de jeunes panthères arpentaient désormais la savane.

Quant à moi, j’étais heureuse d’être là, parmi mes frères et mes sœurs. Il me tardait de devenir grande, pour ressembler à ma mère, aussi forte et agile. J’étais impatiente de pouvoir courir dans la savane avec mes frères, et chasser comme les adultes. A ce moment là, je ne me doutais pas de toutes les épreuves que nous allions vivre avant de devenir de vrais chasseurs.



L’après-midi même, je m’amusais avec Impala et Naturo. Ce dernier était plutôt réservé. Mais j’avais tout de même réussit à ce qu’il vienne jouer avec nous. Impala elle, était vraiment amicale. Dès le début, j’avais senti que je m’entendrais bien avec elle. C’était également une panthère vive e agile. Lorsque nous jouions à nous bagarrer, je sentais ses muscles jouer sous son pelage. Quand à Amala, elle était assise à côté de Zaril et Reyna. Et maman était couchée non loin de là, les yeux mi-clos.

Alors qu’Impala m’avait plaqué à terre après une série de roulades au corps à corps, je me libérai de son étreinte et m’allongeai contre un grand acacia. Mes deux compagnons me rejoignirent et s’allongèrent contre moi. Je leur léchai à chacun une oreille pour leur montrer mon affection pour eux. Soudain, Impala me regarda, une lueur espiègle dans les yeux. Je me demandais ce qu’elle préparait encore. Elle se releva d’un bond, ce qui surpris Naturo, qui se recroquevilla, les poils hérissés de la tête au bout de la queue. Impala planta ses griffes dans l’écorce dure de l’arbre contre lequel nous nous étions reposés. Elle se propulsa à l’aide de ses puissantes pattes arrière et se hissa jusqu’à la première branche, tout de même assez haute. Elle nous regarda du haut de sa branche. « Venez, c’est facile, vous verrez ! »

Je regardai la distance entre elle et moi. Je plantai alors timidement mes griffes dans l’écorce de l’acacia. Je dégluti péniblement, puis, puisant mon courage et mes forces dans la rivalité qui nous octroyait entre frères et sœurs, je bondit. Sans perdre de temps, je continuai ce manège une dizaine de fois avant d’atteindre la branche où ma sœur était allongée.

Puis, nous baissâmes la tête pour découvrir Naturo en bas. Il n’avait pas bougé d’un pouce, et nous regardait toujours, assis sur un rocher. Vu d’en haut, il avait la taille d’un insecte. Je remuai les moustaches, amusée. Impala me gratifia d’un coup de patte amical sur l’oreille, puis redescendit pour rejoindre notre frère.

Quand à moi, j’observai le paysage. La savane était magnifique. Pour la première fois, je voyais le monde haut delà de la barrière de buissons qui nous séparait de la plaine. Au loin, je voyais des animaux de tailles différentes. Je me demandais ce que cela pouvait être. Bella nous avait parlé des zèbres, des buffles, des grandes girafes et des gnoux, certainement la plus dangereuse de nos proies.

Alors que j’allai enfin descendre après le miaulement impatient de ma sœur, j’aperçu au loin deux félins qui trottaient vers nous. Ma mère dût les sentir elle aussi, car elle nous fit signe de nous cacher. Je descendit de l’arbre et me faufilais en vitesse dans la tanière. Impala et Naturo me suivirent. Amala nous rejoignit quelques instants plus tard.

Je vis alors Zaril et Reyna se réfugier dans l’acacia d’où j’avais aperçu les deux fauves. Ce n’était pas la bonne méthode. La plupart des félins savent grimper aux arbres, nous avait dit Bella.

Quand à elle, elle restait cloîtrée devant le gîte, repliée sur elle-même, les oreilles rabattues, prête au combat. Soudain, elle se releva et agita les oreilles. Il n’y avait aucun danger, d’après elle. Je fus alors surprise de sentir les deux individus se rapprocher d’avantage. Nous vîmes alors deux panthères se frayer un passage à travers le dernier mur de buissons qui nous séparait de la plaine. Je me cachais dans un buisson, espérant que les deux mâles ne m’aient pas vu. Maman nous avait dit que les mâles panthères étaient dangereux. Même si ils sont de notre espèce, ils n’aiment pas les petits des autres. Ils font parti de nos ennemis, comme les lions et les hyènes.

Bella les rejoignit au trot. Les deux mâles se frottèrent contre elle. Des cercles noirs mouchetaient leur pelage ocre. Ils s’allongèrent tous trois près d’un arbre. Je les entendais pousser des petits rugissements et grogner. « Nous t’avons entendu rugir. Une portée est donc née. »

« Walli ! Hutan ! J’espérais avoir de vos nouvelles. En effet, j’ai six petits en parfaite santé. Venez mes petits ! »

Nous sortîmes de nos cachettes pour la rejoindre. Je m’assis à côté d’elle et dévisageais les deux inconnus. Ils avaient tous deux les mêmes yeux noirs. Leur pelage ocre était différent de celui de Bella. Je me disais pourtant que si ils ne m’avaient pas attaqué et qu’ils connaissaient tant ma mère, ils devaient être de la famille. J’ignorais que j’étais si proche de la réalité.

« Walli, Hutan, je vous présente Impala, Reyna, Zaril, Amala, Naturo et Liarivy. Les enfants, je vous présente Walli et Hutan. Ce sont vos frères. »

Je comprenais à présent la ressemblance frappante entre Bella et les deux félins. Je remarquais qu’ils se ressemblaient par la forme des yeux et leur expression. Ils avaient aussi le même port de tête et la ossature fine. J’avais d’abord cru les deux mâles identiques. Je découvrais désormais leur différence : le contour des yeux de Hutan était dépourvu de taches, son museau aussi. Alors que Walli avait le mufle moucheté de noir. Son oreille droite était aussi zébrée de trois énormes griffures, sûrement celles d’une autre panthère.

Impala s’approcha alors de Hutan et lui lécha le museau. « Pourquoi sont-ils plus grands que nous, si ce sont nos frères ?

-Ils sont issus de ma première portée. Ils sont plus âgés que vous. Trois ans de plus.

-Et pourquoi ne vivent-ils pas avec nous ? lâcha Zaril. Ce sont tes petits, et nos frères en plus.

-Je sais, Zaril. Mais il advient un jour où les petits sont assez forts pour se débrouiller tous seuls. Ils doivent alors quitter leur mère pour mener seuls leur propre vie. Il y a parfois des exceptions, et des frères issus d’une même portée peuvent vivre en groupe. »

J’écoutais les paroles de ma mère, avide de savoir plus de choses sur la vie de nos semblables. Mais je venais de comprendre quelque chose, une chose qui me choquait.

« Cela veut-il dire que nous devrons partir un jour, nous aussi ? demandais-je d’une petite voix.

-Oui, mais il vous reste beaucoup de choses à apprendre.

-Mais je ne veux pas partir ! rétorqua Amala. Je veux rester avec toi. Je suis bien sur ce territoire, et notre tanière est confortable.

-Mais il est un temps, ma chère petite, murmura Bella, où toi et tes frères devront partir de ce territoire pour mener seul ou avec un frère sa propre vie. Il en est ainsi. »
Nous baissâmes la tête, tristes à l’idée de devoir quitter un jour notre mère et son territoire qui nous avait vu naître.





VOILA!! Liarivy  (début, je viens de commencer) Icon_cheers Dites-moi ce que vous en pensez... Vous inquiétez pas c'est pas fini, ce n'est que le tout début...
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MessageSujet: Re: Liarivy (début, je viens de commencer)   Liarivy  (début, je viens de commencer) I_icon_minitimeMar 23 Fév - 12:24:17

pas mal!
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