Coucou!
Alors voilà, une histoire sans suite, mais que j'aime et que j'ai crée moi. "Stupid Love" a conquis le coeur des filles de mes amies ♥ Et vous? Vous en pensez quoi?
Note: beaucoup de points de suspension et de retour a la ligne je sais, mais c'est la manière de le dire. Je la raconterais en vocale et je la mettrais pour que vous voyez ce que ça donne a l'oral.
Bonne lecture!

Stupid Love

Je m'appelle Chloé, j'ai seize ans, je n'ai pas beaucoup d'amis et ...
Je n'ai jamais trouver l'amour.
Aujourd'hui, je sais que je l'ai trouvé, celui qui fait battre mon coeur. Mais comme je sais que tout bonheur est éphémère, le coeur de celui que j'aime ...
Est Déjà Pris.
Tu hantais mes pensées. Mon coeur et mon esprit t'appartenais. Mais fallais pas y compter, puisque tu ne savais même pas que j'existais. Je me disais " A quoi bon vider mes larmes de cet amour inaccessible ? ". Mais je n'e faisais rien, tu sais ... A part pleurer, qu'est-ce que je pouvais faire? Elisa était a la place que je convoitais, et c'est une place qui ne se libérerais pas avant longtemps, je le sais. Parce que t'es un mec bien.
J'avais tellement de haine et de jalousie en moi ...
Je ne dormais plus, j'étais obsédée par toi ...
C'était tellement cruel de savoir que je n'avais aucune chance .
Et puis un jour je décidais de faire quelque chose. C'était fou, c'était atroce, c'était excitant, ce n'était pas moi. Mais je savais ce que je faisais.
Je le savais, et j'étais consciente de mon acte.
Mais j'étais obligée de le faire, si je voulais aimer un jour.

Je vous voyais tout les deux dans la cour. Elle, radieuse te disant : « J'y vais. » et toi qui la regardais partir, sourire au lèvres, charmeur comme jamais. J'ai réfléchi aux conséquences de mon acte, mais non. Je devais le faire.
Devenir complètement insensible ...
Je voyais Elisa, au bord du passage piéton. Dernière inspiration. Avant qu'elle traverse, je chuchote, depuis mon coin ombragé où l'on ne me voit pas: « Elisa ...
- Quoi? c'est qui?
- Quelqu'un, viens s'il te plaît!
- Hmmm ... Bon, d'accord. » finit-elle après une longue hésitation.

Elle arrivait a l'angle ou je me trouvais, cachée de l'autre côté, tremblante. Elle fit: «You houuu! Euh ... y a quelqu'un?»
Je me tournais, contournais l'angle et tombais devant-elle. Elle semblait surprise. Je dis:
« Bouh.
- On ... se connait?, demanda-t-elle, avec une peur apparente sur le visage.
- Est-ce vraiment important de le savoir?, répondis-je, en voyant une ombre tristesse sur son visage, telle de la nostalgie. Comme si elle savait ce qui l'attendait.
- Je sais pas. Que me veux-tu?
- C'est simple ...» je m'avançais vers elle, menaçante. Lui prit la main, et la plaquais violemment contre le mur. «Je veux me débarrasser de toi.
- T'es complètement barge! hurla-t-elle, ses yeux luisant de colère. Une seconde auparavant, ils étaient écarquillés de terreur. Et qu'est-ce que je t'ai fais, d'abord?
- Tu es une intrue, tu gâches mes rêves et mon amour.»

Elle semblait compatir, être triste et ... elle avait toujours aussi peur. Elle avait enté de partir, mais je l'avais bloqué contre le mur. Mon regard était froid, mes lèvres serrées, et son regard sur le côté, ses sourcils tristes, son air dépitée étaient tristes a voir. Mais pour moi, cela n'avait aucune importance. Elle répondit en fermant les yeux, et secouant légèrement la tête:
« Je ne comprends pas ...
- Je ne te demande pas de comprendre, murmurais-je.
- Si tu dois vraiment me tuer, je veux savoir ... me dit-elle en pleurant.
- Je ne peux pas» , avouais-je, au bord des larmes moi aussi.

Et puis, j'enfonçais la lame dans le ventre d'Elisa en fermant les yeux. Elle ouvrit de grands yeux, triste et souffrante, et tenta de parler mais un filet de sang sortit de sa bouche et elle s'écroula au sol, morte. Je tombais a genoux en pleurant et hoquetant "Désolé ... désolé ...".

On dit souvent que l'amour fait faire n'importe quoi ...
Ce n'est plus un doute mais une certitude. Je n'étais pas prête a ça ...
Je ne sais pas si je réalise,
Que j'ai tuée une personne.
Je pensais me réjouir de sa mort, être heureuse, je ne suis qu'une assassine.
Mais pourtant ...

« Hum ... Bonjour. avais-je dit a Yohan, l'amour de ma vie.
- On s'connait? m'avait-il répondu, un peu grognon.
- Non pas vraiment, mais je pense qu'on pourrait ... faire connaissance? avais-je suggeré, avec un sourire penaud. Immédiatement, il a souri.
- Ouais t'a raison, moi, c'est Yohan.
- Moi, c'est Chloé ... enchantée.
Mais ... que se passe-t-il? Tu as l'air inquiet.
- J''attends ma petite amie. avait-il répondu, en levant un sourcil interrogateur en ma direction. Il se demandait sûrement pourquoi j'étais aussi curieuse. Parce que j'étais amoureuse ...
- Où est le problème ? fis-je.
- Je trouve qu'elle a beaucoup de retard ... »

J'avais envie de crier que c'était moi, qu'il ne le verrait plus jamais par ma faute. Lui dire que j'étais une criminelle, et que j'avais tuer Elisa. Qu'elle était morte, au coin de la rue, près du passage piéton. Mais je ne pouvais pas. Pas sans aller en prison, là ou je devais être mais ... je ne voulais pas finir là bas. Alors je murmurais timidement:
« Ah ... Elle est sûrement en retard, ou malade. T'en fais pas ...
- Tu as raison. » Il avait hoché la tête en disant cela. J'étais troublée mais heureuse. AM-OU-REU-SE.

Le voir me faisait tout oublier, mais seule, les souvenirs me hantaient. Je pleurais dans mon lit, la nuit, lorsque personne ne me voyait.
Yohann alla chez la mère d'Elisa. Il toqua, il pleuvait, et attendit sous les gouttes. Il avait un air inquiet et avait froid. La porte s'ouvrit sur la mère de son amour. Il bredouilla maladroitement:
« Euhm ... bonjour madame.
- Qui êtes-vous? demanda-t-elle, son visage triste et ses yeux rouges témoignait d'un grand chagrin, et elle était méfiante.
- Je suis le petit ami d'Elisa et ...
- Que voulez-vous? coupa la femme brune.
- Eh bien, j'aimerais savoir pourquoi Elisa ne vient plus au Lycée ..., avoua-t-il, tremblant de chagrin, de peur, d'inquiétude. L'expression de la mère d'Elisa changea, ses yeux se remplirent de larmes, les coins de sa bouches retombèrent, elle s'agrippa a la porte et cria:
- Elisa a disparu. Aurevoir. » Et elle claqua la porte.

Elle, dedans, se laissa tomber au sol, dos contre la porte, sanglotant et murmurant le nom de sa fille.
Lui dehors, laissa rouler des larmes sur ses joue sans les sécher, puis mis sa tête dans ses mains et, horrifié et écrasé de chagrin, il sanglota a son tour, dans la pluie, la nuit et le froid.

J'arrivais au Lycée, le lendemain matin, et voyant une foule devant le préau, m'empressais d'y aller. Tout le monde pleurait, gémissait, ou murmurais des prières, des petits mots, des formules d'adieu pour Elisa. Je vis Yohan, de dos. Je mis ma main sur son épaule, et murmurais:
« Yohan ? »
Il tourna légèrement la tête, assez pour que je puisse voir ses yeux rouges et les larmes roulant sur sa joue. Je devins rouge.
Comment ne pas se sentir mal?
Il me prit dans ses bras.
Comment ne pas se sentir coupable?
« Elisa a disparue »
Je l'enlaçais, émue, et je versais quelques larmes.

Aurais-je fais, tout simplement,
l'erreur de ma vie ?
Malgré la mort d'Elisa, nous nous rapprochions de jours en jours ...
Ça ne plaisait pas a tout le monde;
« Yohan ?
- Judith?
- Je peux te parler une minute?
- Ok.
- Dis ... Tu n'aimes déjà plus Elisa ?, demanda-t-elle, sous les yeux horrifiés de Yohan.
- Pardon ?
- Tu passes tout ton temps avec cette espèce de blondasse! Tu n'es déjà plus triste, tu l'as oublié ?
- Idiote. Mes larmes ne la fera pas revenir. J'aimerais toujours Elisa. Je ne peux pas rester éternellement triste: Elisa a disparue.»

Quelques mois se sont écoulés, je me sentais toujours aussi coupable. C'était tellement merveilleux, je croyais rêver !
[a finir]
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